Ce n’était pas un Tartuffe

Publié le par Gévé

moliereLe dix-sept février de l’an soixante treize

Durant le siècle de Louis le grand, le roi soleil,

Assez tard dans la soirée, suite à un malaise

Molière s’en va rejoindre l’éternel sommeil

 

Ainsi, de nos auteurs, s’éteignit le plus grand

Car Jean Baptiste Poquelin  fut à la comédie

Ce qu’à la séduction est le noble Dom Juan

Ou encore Sganarelle, le Médecin malgré lui

 

De l’ « illustre théâtre » au grand Palais Royal

Ses multiples pièces connurent de francs succès

Toujours d’actualité car ses farces géniales

A la comédie française, encore elles y sont  jouées

 

Qui n’a pas étudié l’Avare ou Georges Dandin ?

Qui ne connaît pas le Malade Imaginaire,

L’Ecole des femmes ou  les Fourberies de Scapin ?

Œuvres liées à jamais à notre vie scolaire.

 

Si nos voisins ibériques ont leur Cervantès

Ou encore qu’il y ait Shakespeare pour l’Angleterre

L’ambassadeur, lui,  de notre langue française

Reste et restera toujours le grand Molière

 

Bon il est temps pour moi d’arrêter là mon modeste hommage en alexandrin à ce personnage unique qu’est Molière. Je ne possède ni le talent de sa prose, ni le génie de ses vers.

 

A Molière…

Publié dans Personnalités

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